(MORTES MAISONS, de Jacques MERCIER, paru / publicado en 1999, e-book en 2011, disponible sur/ en Kindle)
Morte saison, temps de la mort des coeurs et des maisons… Maisons mortes, histoires défaites, vies brisées… Ce livre est fait de pans de souffrance, d'énigmes tristes, et de poésie.
Je m'y suis plongée avec gourmandise, je n'en ressors pas indemne: c'est bien ce qu'on attend des beaux livres.
Une vingtaine de maisons, autant de destins étonnants. Des maisons belges, bien sûr, mais aussi des maisons d'Ombrie, de Grèce, de Rio ou du Portugal, avec leur cadre de nature envoûtante…
Des maisons vieillottes ou ultra modernes, somptueuses ou très modestes, décrites de façon savoureuse…
Car mystère et sensualité s'unissent dans ces nouvelles de notre ami belge Jacques Mercier, écrivain, homme de théâtre, longtemps très actif à la télévision belge (RTBF), dont je vous invite à lire le BLOG toujours inspiré, et que je vous suggère de suivre sur les réseaux sociaux.
Héros ou héroïnes ont souvent des noms ordinaires (mais sans banalité); parfois pourtant des clefs ouvrent ostensiblement la porte au rêve quand on rencontre la Roxane de Bajazet, quand Tristan dialogue avec Ondine, ou que le destin d'Arthur R., poète, dépend de la venue de Paul V., ou encore quand Tante Marguerite rejoint dans la mort Alice au Pays des Merveilles.
Accidents, suicides, explosion, incendies, viennent à bout des demeures ou de leurs habitants, mais la vie est tenace, l'amour charnel décrit d'une plume gourmande emporte les personnages, son souvenir illumine les situations les plus tristes, les vies les plus ternes… L'amour rêvé, l'amour en silence seraient-ils rédempteurs? Les deux dernières nouvelles le donnent à penser, qui referment ce livre fait de touches sombres, souvent émouvant, parfois pince-sans-rire, sur une note d'espoir et d'optimisme.
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Temporada mala, tiempo de muerte de los corazones y de las casas…
Casas muertas, historias destruidas, vidas destrozadas…
Este libro esta compuesto de pedazos de sufrimientos, de enigmas tristes, y de poesia.
Me inmergí en la lectura con avidez, no emergí sin daño: eso es lo que esperamos de un buen libro.
Una veintena de casas, y tantos destinos extraños. Casas belgas, claro, pero también de Umbría, de Grecia, de Rio o de Portugal, con sus entornos de naturaleza cautivadora…
Casas a veces anticuadas o re modernas, suntuosas o muy modestas, descritas sabrosamente…
Pues misterio y sensualidad se unen en estas novelas cortas de nuestro amigo belga Jacques Mercier, escritor, que trabaja también en el teatro, y trabajó muchos años en la TV belga (RTBF): los invito a leer su BLOG siempre inspirado, y a seguirlo en las redes sociales.
Los protagonistas de los textos tienen generalmente un nombre sencillo (pero no ordinario); sin embargo, a veces los nombres dejan la puerta abierta al sueño, así cuando encontramos Roxana desde Bajazet, cuando Tristán platica con Ondina, cuando el destino de Arturo R., poeta, depende de Paulo V., o cuando Tia Margarita se reúne, por su muerte, con Alicia en el país de las maravillas…
Accidentes, suicidios, explosión, incendios, terminan con las casas o sus habitantes, sin embargo la vida es tenaz, los protagonistas hacen el amor con goce, la memoria del amor ilumina los momentos más tristes, las vidas más aburridas. Pueden el amor soñado, el amor en silencio ser redentores? Los dos últimos textos dan que pensarlo, ya que el libro, sombrío, emocionante, a veces socarrón, acaba con un toque de esperanza, de optimismo.
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