vendredi 2 octobre 2015

La casa más grande del mundo (la maison la plus grande du monde)


Je viens d'avoir des nouvelles du Festival du film latino-américain de Biarritz!

Acabo de recibir ¡noticias del Festival de la película de América latina en Biarritz (Francia)! 
(vean el texto en español al fin de mi articulo)

Une de mes amies qui habite au Pays Basque assiste au Festival le plus souvent possible, et cette année elle a eu un coup de coeur, pour un premier film qu'elle a trouvé plein de poésie tendre, et qui présente des femmes mayas du Guatemala.

La Casa más grande del mundo (la maison la plus grande du monde) met en scène une jeune Mam, Rocío, qui vit avec sa mère et sa grand-mère dans la Cordillère des Cuchumatanes à l'ouest du Guatemala.
Les trois femmes vivent difficilement du revenu de leur troupeau de moutons. La mère de Rocío est enceinte, et au moment de l'accouchement, la jeune fille doit s'occuper seule du troupeau.
Avec une amie elle part dans la montagne, et tout en gardant leurs bêtes, elles jouent à construire les plus grandes maisons du monde avec de petites pierres.
Mais un mouton de Rocío s'égare, et son amie doit rentrer son propre troupeau... Rocío, restée seule, guide ses moutons dans la montagne en quête de la bête perdue. Cette course pour retrouver un agneau puis tout un troupeau dans le brouillard devient pour la jeune fille une lutte pour triompher de ses peurs et une quête de soi-même.

Le film est l'oeuvre d'une guatémaltèque, Ana V. Bojórquez, qui a étudié à Cuba, et dont c'est le premier long métrage, et d'une mexicaine, Lucia Carreras, dont le premier film a été sélectionné  dans plusieurs festivals.


Una de mis amigas que vive en el País Vasco va a asistir lo más posible al Festival de Biarritz, y esta vez tuvo un flechazo para una primera película que le pareció llena de poesía cariñosa, y que presenta a mujeres mayas de Guatemala.

La Casa más grande del mundo evoca a una jovencita mam, llamada Rocío. Vive con su madre y su abuela en la Cordillera de los Cuchumatanes en el oeste de Guatemala. 
Las tres mujeres sobreviven con dificultad con lo que les deja su rebaño de ovejas. La madre de Rocío está embarazada, y al momento del parto, la muchacha debe cuidar sola al rebaño. 
Con una amiga se va a la montaña, y cuidando sus ovejas, las dos niñas juegan a construir las más grandes casas del mundo con piedrecitas. 
Sin embargo una oveja de Rocío se extravía, y la amiga debe volver a su casa con su propio rebaño. Rocío se queda sola en la montaña con su rebaño y debe buscar a la oveja extraviada en la niebla. Encuentra su animalito pero pierde su rebaño.  Esa aventura se vuelve para la jovencita una lucha para triunfar sobre sus miedos y una búsqueda de si misma.

La película es la obra de una guatemalteca, Ana V. Bojórquez, que estudió en Cuba, y que hizo así su primer largometraje, y de una mexicana, Lucia Carreras, de la cual la primera película fue seleccionada en varios festivales.

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